Aux urnes, citoyens!

que de la marde !

j'en ai marre de voir toujours les mêmes têtes aux actualités !

j'en ai marre de ne pas savoir à quelle sauce on va etre manger !

j'en ai marre de ne pas etre plus motiver !

j'en ai marre de voir de l'ancien sur les écrans (politiques et journalistes: un pays de vieux )

places a l'espoir et places aux jeunes .......la prendront-ils un jour cette place ?

PS: je viens de voir je ne revote pas dimanche en 15 : il a été réelu à 55 % au premier tour .a
Alors pour moi ça ne servait a rien mon vote de ce dimanche dans l'adversité : de quoi baisser les bras !
les riches vont rester riches et la classe moyenne (moi) va aussi rester a sa place c'est-à-dire ..........va payer encore et toujours )
pas de quoi me motiver ce matin pour bosser !

soaz a écrit:Et les résutats, ou ce qu'on en sait à l'heure qu'il est, ça te convient?

Non, mais je m'y attendais donc ni décue, ni surprise

Leterme à la tête du pays, ca ne me convient pas non plus, mais là aussi c'était de l'attendu.

...et je me dis qu'il faut peut etre en passer par là pour qu'il y ait prise de conscience chez certains, en espérant aussi que la réaction suivra, parce que la "
patience des belges"
me fait parfois peur

soaz a écrit:Et vous, les voisines, vous ne racontez rien?
Vraiment aussi peu motivantes que ça, ces élections?

c'est inquiétant ! pour qu'une société soit juste il faut aussi de l'oposition !que tous les citoyens puissent se faire entendre , ( même s'ils ne sont pas majoritaire!).
l'abstention est la grande gagnante dans l'oposition. :triste


je revote dimanche mais sans aucunes illutions . :triste

un "
truc"
qui ne me fait certainement pas bondir de joie dans nos élections

En Flandre, l'extrême droite xénophobe du Vlaams Belang se maintient aux alentours de 19 % et un nouveau parti s'impose à ses côtés : la Liste Dedecker. Emmenée par un dissident du parti libéral, cette formation populiste franchit pour sa première apparition le seuil des 5 % nécessaires pour être présente à la Chambre. Elle prône une politique radicale en matière de sécurité, d'immigration et d'autonomie régionale.

...ajouté à Leterme et ses liens avec des ultranationnalistes flamands, se prépare pas des lendemain qui chantent le pays, et surtout pas coté wallon :down

Oui, ça ne sera facile ni de former un gouvernement (la quadrature du cercle, même... ), ni de résister aux coups de boutoir des Flamands...
Sans compter le ménage à faire, dans certaine ville de Wallonie...

La grande soupe !!!!


(je mets l'article en entier, pour les cousines-voisines que cela interesserait de comprendre comment ca (ne) fonctionne (pas) chez nous

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Concilier des voeux contradictoires
V.d.W.
Mis en ligne le 12/06/2007
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Le Roi a reçu la démission du gouvernement de Guy Verhofstadt et l'a chargé des affaires courantes.
Il a entrepris ses colloques singuliers avec les présidents de partis. Après ces contacts, il désignera un ou deux informateurs qui seront chargés de préparer le travail du formateur et du Premier ministre.


Rude journée pour le roi Albert II : lundi matin, il a reçu le Premier ministre sortant qui est venu lui présenter la démission de son gouvernement.
Guy Verhfostadt a ensuite été chargé d'expédier les affaires courantes.
Comme le veut la tradition, le Souverain a également rencontré les présidents de la Chambre et du Sénat, Herman De Croo et Anne-Marie Lizin. Puis il a reçu les présidents de parti, en commençant par celui dont la victoire est la plus grande : Jo Vandeurzen, le président du CD &
V. Ont suivi, Didier Reynders (MR), Joëlle Milquet (CDH) et Jean-Michel Javaux (Ecolo).


1 Qu'attend-on du Souverain ? La tâche du Souverain s'avère particulièrement délicate : il doit, après avoir mené ces colloques singuliers, désigner un informateur chargé de démêler l'écheveau politique apparu au lendemain des élections législatives. Cet informateur viendra présenter un rapport au Roi 8 à 10 jours après avoir été désigné. Puis, si les enjeux et les perspectives sont clairs, le Roi nommera un formateur chargé de constituer un gouvernement.

2 Qui comme informateur ? Sera-t-il choisi dans la formation politique la plus importante, ou dans la famille politique la plus grande ? Ce sont les libéraux qui sont les mieux représentés à la Chambre avec 41 sièges au total. Mais c'est le CD &
V qui a recueilli le plus de voix (1 234 950 voix devant le MR : 835 073). Dès lors plusieurs choix sont possibles : nommer un informateur MR (Reynders) suivi d'un formateur CD &
V (Leterme). Soit nommer deux co-informateurs ou co-médiateurs : un MR (Louis Michel, Armand De Decker ?) et un CD &
V (Jean-Luc Dehaene, Wilfried Martens ?).

3 Qui comme formateur et puis comme Premier ministre ? Lundi, Yves Leterme a redit que ce poste devait revenir à la formation politique la plus importante, c'est-à-dire au CD &
V. Mais Didier Reynders revendique aussi un rôle de premier plan (voir ci-dessous)

4 Avec quels partis ? Si l'électeur s'est prononcé au premier tour, on sait qu'en Belgique, ce n'est pas lui qui décide lors du deuxième tour, ce tour qui conduit à choisir les coalisés pour constituer un gouvernement. Là, les présidents de partis sont seuls à choisir.

Comment mélanger les cartes ? D'abord en regardant l'arithmétique : la coalition qui réunit les "
oranges"
et les "
bleus"
, c'est-à-dire le CD &
V et le CDH, le MR et le VLD semble la plus simple à mettre sur pied. Cette majorité est relativement courte (81 sièges) : elle pourrait être élargie aux écologistes (8 sièges pour Ecolo, 4 pour Groen !) pour former ce que l'on appelle la "
Jamaïque"
. Mais on sait que les verts ne sont pas chauds pour entrer dans une majorité où ils ne sont pas indispensables.

5 Avec ou sans réforme de l'Etat ? Ce sera évidemment la grande question des prochaines négociations gouvernementales. Elle déterminera les couleurs de la prochaine coalition et le nom du futur Premier ministre. C'est-à-dire ? Le CD &
V a fait campagne en promettant à ses électeurs qu'il plaiderait pour et obtiendrait une grande réforme de l'Etat.

Dimanche soir, lors de sa première déclaration télévisée, Yves Leterme a rappelé son exigence institutionnelle. Le CD &
V y croit et si, par hasard, il venait à faiblir, son allié, la N-VA, séparatiste, viendrait le lui rappeler.

Mais la voix vers une grande réforme de l'Etat est truffée d'embûches. Détaillons-les. Toute réforme de l'Etat doit être votée par une majorité des deux tiers à la Chambre et au Sénat. Problème : seule la coalition tripartie (alliance des trois familles traditionnelles : socialistes, libéraux, sociaux-chrétiens et humanistes) assure cette majorité particulière. Et lundi après-midi, le président des socialistes flamands, Johan Van de Lanotte, dont le parti a été sévèrement sanctionné, a précisé que son parti optait d'ores et déjà pour l'opposition. Mais, détail important, il a affirmé que les socialistes flamands (14 sièges) pourraient voter, même dans l'opposition, la réforme de l'Etat. Si l'on ajoute les 5 sièges de la liste de Jean-Marie Dedecker, la réforme de l'Etat pourrait être votée par cette majorité alternative (100 voix tout juste sur 150). Cela, c'est purement théorique, car cela donnerait une force incroyable au populiste Dedecker qui ne manquerait pas de monnayer son appui. De plus, la réforme de l'Etat, les francophones n'en veulent pas.

6 Y a-t-il un autre scénario ? Oui. Le voici. Les partis flamands veulent une réforme de l'Etat. Les francophones non. Le pays ne peut rester des mois sans gouvernement. Il faudra donc bien qu'un jour, le prochain formateur trouve une majorité. Si les francophones maintiennent leur veto, il faudra bien que les Flamands renoncent à la grande réforme de l'Etat et se préoccupent principalement des dossiers socio-économiques du jour. Les partis flamands (CD &
V et VLD) seraient déjà très heureux de participer à un gouvernement fédéral sans le PS jugé responsable de tous les maux de la terre. De là à dire qu'on ne fera rien sur le plan institutionnel... non. On poserait sans doute l'un ou l'autre geste "
communautaire"
(la scission de Bruxelles-Hal-Vilvorde avec refinancement de Bruxelles) pour faire passer, en Flandre, la pilule d'un gouvernement au programme institutionnel très "
light"
. Cela, c'est le souhait de Didier Reynders, qui veut très vite un gouvernement orange-bleu. Pas sûr qu'il ait réussi à convaincre Yves Leterme qu'il a reçu, lundi, à son cabinet des Finances.

Mais la solution d'un gouvernement fédéral sans réforme de l'Etat serait risquée pour les partis flamands qui pourraient être sanctionnés aux élections régionales de 2009, d'autant qu'en 2009, on pourrait faire coïncider tous les scrutins.
Alors danger ? Sauf si les prochains partis coalisés se promettent de rester ensemble au fédéral et, en plus, de dupliquer les mêmes majorités dans les Régions et les Communautés. Si l'électeur le permet évidemment. Qui vivra...

Pétard !!!!!! y en a qui veulent Daerden à la tête de la région wallonne :bizz2
sont pas bien eux ca va déjà assez mal comme ca, pas besoin de se rendre ridicule en plus en mettant un guignol aux commandes

(sans compter que le dit guignol tout alcoolisé qu'il soit s'y entend pour voir SES intérêts )