Disparution au Québec
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Disparution au Québec
J,ai vu ça sur un autre forum je vous fait suivre celle qui viennent du Québec on s'est jamais quelqu'un pourrait la croisé .
clolou- carbone 14
- Messages : 4743
Date d'inscription : 14/01/2007
Localisation : Dolbeau mistassini(Lac-St-Jean)
Re: Disparution au Québec
Tu as bien fait Clolou
La famille doit être malheureuse
La famille doit être malheureuse
opaline- carbone 14
- Messages : 2304
Date d'inscription : 07/01/2007
Age : 78
Localisation : Midi de la France
Re: Disparution au Québec
Ah oui, insupportable, l'absence, les questions sans réponse...
On croise...
On croise...
_________________
Fêlure
Jusqu'au coeur de l'amande
Frangipane que nos vies
Quand on n'a pas le nécessaire, on ne peut pas se passer du superflu (Catherine Enjolet)
soaz- carbone 14
- Messages : 36571
Date d'inscription : 07/01/2007
Localisation : Belgique
Re: Disparution au Québec
C'est justement la Journée Internationale des Enfants Disparus, aujourd'hui...
25 mai, ensemble crions pour les enfants disparus !
A l'occasion de la 6 ème édition de la Journée Internationale des Enfants Disparus, des centaines de personnes se sont donné rendez-vous à 17h00 devant la Gare Centrale de Bruxelles pour pousser un "
Cri"
.
Un "
Cri"
, le plus puissant possible, pour être entendu des enfants disparus et de leurs parents. Pour être entendu des potentiels ravisseurs d'enfants pour qu'ils se ravisent. Pour être entendu des autorités policières et judiciaires pour les encourager à poursuivre leurs efforts dans la lutte contre les disparitions d'enfants. Un Cri d'espoir.
Vu le reportage à la TV: ça faisait froid dans le dos...
Cette manifestation a été initiée par Child Focus, le Centre Européen pour Enfants Disparus et Sexuellement Exploités, fondation créée à la suite de la disparition de Julie et de Mélissa.
Depuis 7 ans, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, tant sur le plan national qu'international, le Centre met tout en œuvre pour retrouver des enfants disparus et pour combattre leur exploitation sexuelle. Un seul numéro d'appel, le 110, est à retenir pour signaler une disparition, un enlèvement ou un abus sexuel.
Des photos d'enfants récemment disparus ici:
http://www.childfocus.be/fr/index.php?language=fr
25 mai, ensemble crions pour les enfants disparus !
A l'occasion de la 6 ème édition de la Journée Internationale des Enfants Disparus, des centaines de personnes se sont donné rendez-vous à 17h00 devant la Gare Centrale de Bruxelles pour pousser un "
Cri"
.
Un "
Cri"
, le plus puissant possible, pour être entendu des enfants disparus et de leurs parents. Pour être entendu des potentiels ravisseurs d'enfants pour qu'ils se ravisent. Pour être entendu des autorités policières et judiciaires pour les encourager à poursuivre leurs efforts dans la lutte contre les disparitions d'enfants. Un Cri d'espoir.
Vu le reportage à la TV: ça faisait froid dans le dos...
Cette manifestation a été initiée par Child Focus, le Centre Européen pour Enfants Disparus et Sexuellement Exploités, fondation créée à la suite de la disparition de Julie et de Mélissa.
Depuis 7 ans, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, tant sur le plan national qu'international, le Centre met tout en œuvre pour retrouver des enfants disparus et pour combattre leur exploitation sexuelle. Un seul numéro d'appel, le 110, est à retenir pour signaler une disparition, un enlèvement ou un abus sexuel.
Des photos d'enfants récemment disparus ici:
http://www.childfocus.be/fr/index.php?language=fr
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Fêlure
Jusqu'au coeur de l'amande
Frangipane que nos vies
Quand on n'a pas le nécessaire, on ne peut pas se passer du superflu (Catherine Enjolet)
soaz- carbone 14
- Messages : 36571
Date d'inscription : 07/01/2007
Localisation : Belgique
Re: Disparution au Québec
Dans quelle société vit-on?
Même les gamines ont le mal de vivre!
Deux amies de 14 et 15 ans, dans la même classe d'un collège d'Ajaccio, ont sauté de la fenêtre des appartements de leurs parents, juste après s'être téléphoné en se jurant de se suicider. Hospitalisées dans un état grave, leur vie ne serait pas en danger
DEUX ELEVES de quatrième du collège Laetitia-Bonaparte à Ajaccio (Corse-du-Sud) ont tenté de mettre fin à leurs jours, hier soir, à une heure d'intervalle . Elle se sont jetées dans le vide après s'être téléphoné, se jurant mutuellement de passer à l'acte. Le drame s'est déroulé au domicile des parents de chacune des deux amies, toutes deux élèves dans la même classe.
Les victimes, transportées à l'hôpital d'Ajaccio, souffraient de nombreuses fractures et traumatismes, mais, malgré leur état grave, leur vie ne semblait pas être en danger. Ces deux tentatives concertées semblent symptomatiques des crises identitaires qui affectent les adolescents et plus particulièrement les jeunes filles de 14 à 16 ans (lire l'interview ci-dessous) .
Des petits mots échangés en classe
Un peu avant 19 heures, Florence*, 14 ans, demeurant cours Napoléon, l'artère principale du centre d'Ajaccio, téléphone à son amie Christine*, 15 ans, résidant avenue Kennedy. Florence, seule dans l'appartement, aurait évoqué des problèmes familiaux avant d'annoncer à son interlocutrice son intention d'en finir avec la vie. Là, elle franchit la fenêtre et bascule du troisième étage dans la cour arrière de l'immeuble. Les secours ont retrouvé quelques minutes plus tard son corps brisé sur le sol, mais la jeune fille était en vie. Une heure plus tard, conformément au pacte qu'elles avaient scellé au téléphone, Christine sautait elle aussi par la fenêtre du domicile familial. Dans l'appartement, une nourrice chargée de garder un jeune enfant a bien tenté de s'interposer pour retenir l'adolescente. En vain. Christine s'est écrasée deux étages plus bas et souffre, elle aussi, de nombreuses fractures et traumatismes. Son état était jugé hier plus grave que celui de son amie. L'adolescente avait effectué récemment un séjour dans un établissement spécialisé à la suite de troubles du comportement. Les enquêteurs de la sûreté d'Ajaccio ont retrouvé chez elle une lettre où elle mentionnait son souhait d'en finir avec la vie. Ils auraient découvert chez l'une et l'autre de petits mots rédigés sur du papier froissé, sur lesquels le scénario du drame était déjà inscrit. Des mots qui avaient été échangés en classe, selon les premiers éléments de l'enquête. Hier soir, les policiers de la sûreté ont investi le collège Laetitia-Bonaparte pour aider les responsables de l'établissement à joindre toutes les familles des classes de quatrième et de troisième. Leur but : les avertir du drame et les mettre en garde. « Il s'agit d'éviter tout risque de contagion et prévenir tout passage à l'acte d'autres adolescents qui auraient pu être concernés par ces serments d'en finir avec la vie », expliquait un commissaire de police. Les enquêteurs essayaient de savoir si ces deux jeunes filles n'avaient pas partagé leurs intentions suicidaires avec d'autres élèves. La police a surtout voulu « prévenir une chaîne de provocations morbides » et « s'assurer qu'il ne s'agit pas d'un jeu à grande échelle », selon ce même commissaire. « Nous avons trouvé effectivement de petits mots qui semblent être des provocations au suicide », a indiqué le procureur José Thorel. Le magistrat a ouvert dans la soirée une enquête préliminaire pour savoir s'il y avait eu « incitation au suicide ». Les blogs d'adolescents sur Internet recèlent bien souvent ce genre de défis. Ils sont parfois les conséquences de crises psychiques et peuvent influer sur d'autres adolescents fragilisés. Une cellule psychologique doit être mise en place ce matin au collège.
* Les victimes étant mineures, leurs prénoms ont été volontairement changés.
On ne voyait pas ce genre de faits divers il y a quelques années.
J'espère que la famille se retrouvera au plus vite chez vous. En France aussi il y a beaucoup de disparitions, au départ ce sont des figues mais parfois.......................
Même les gamines ont le mal de vivre!
Deux amies de 14 et 15 ans, dans la même classe d'un collège d'Ajaccio, ont sauté de la fenêtre des appartements de leurs parents, juste après s'être téléphoné en se jurant de se suicider. Hospitalisées dans un état grave, leur vie ne serait pas en danger
DEUX ELEVES de quatrième du collège Laetitia-Bonaparte à Ajaccio (Corse-du-Sud) ont tenté de mettre fin à leurs jours, hier soir, à une heure d'intervalle . Elle se sont jetées dans le vide après s'être téléphoné, se jurant mutuellement de passer à l'acte. Le drame s'est déroulé au domicile des parents de chacune des deux amies, toutes deux élèves dans la même classe.
Les victimes, transportées à l'hôpital d'Ajaccio, souffraient de nombreuses fractures et traumatismes, mais, malgré leur état grave, leur vie ne semblait pas être en danger. Ces deux tentatives concertées semblent symptomatiques des crises identitaires qui affectent les adolescents et plus particulièrement les jeunes filles de 14 à 16 ans (lire l'interview ci-dessous) .
Des petits mots échangés en classe
Un peu avant 19 heures, Florence*, 14 ans, demeurant cours Napoléon, l'artère principale du centre d'Ajaccio, téléphone à son amie Christine*, 15 ans, résidant avenue Kennedy. Florence, seule dans l'appartement, aurait évoqué des problèmes familiaux avant d'annoncer à son interlocutrice son intention d'en finir avec la vie. Là, elle franchit la fenêtre et bascule du troisième étage dans la cour arrière de l'immeuble. Les secours ont retrouvé quelques minutes plus tard son corps brisé sur le sol, mais la jeune fille était en vie. Une heure plus tard, conformément au pacte qu'elles avaient scellé au téléphone, Christine sautait elle aussi par la fenêtre du domicile familial. Dans l'appartement, une nourrice chargée de garder un jeune enfant a bien tenté de s'interposer pour retenir l'adolescente. En vain. Christine s'est écrasée deux étages plus bas et souffre, elle aussi, de nombreuses fractures et traumatismes. Son état était jugé hier plus grave que celui de son amie. L'adolescente avait effectué récemment un séjour dans un établissement spécialisé à la suite de troubles du comportement. Les enquêteurs de la sûreté d'Ajaccio ont retrouvé chez elle une lettre où elle mentionnait son souhait d'en finir avec la vie. Ils auraient découvert chez l'une et l'autre de petits mots rédigés sur du papier froissé, sur lesquels le scénario du drame était déjà inscrit. Des mots qui avaient été échangés en classe, selon les premiers éléments de l'enquête. Hier soir, les policiers de la sûreté ont investi le collège Laetitia-Bonaparte pour aider les responsables de l'établissement à joindre toutes les familles des classes de quatrième et de troisième. Leur but : les avertir du drame et les mettre en garde. « Il s'agit d'éviter tout risque de contagion et prévenir tout passage à l'acte d'autres adolescents qui auraient pu être concernés par ces serments d'en finir avec la vie », expliquait un commissaire de police. Les enquêteurs essayaient de savoir si ces deux jeunes filles n'avaient pas partagé leurs intentions suicidaires avec d'autres élèves. La police a surtout voulu « prévenir une chaîne de provocations morbides » et « s'assurer qu'il ne s'agit pas d'un jeu à grande échelle », selon ce même commissaire. « Nous avons trouvé effectivement de petits mots qui semblent être des provocations au suicide », a indiqué le procureur José Thorel. Le magistrat a ouvert dans la soirée une enquête préliminaire pour savoir s'il y avait eu « incitation au suicide ». Les blogs d'adolescents sur Internet recèlent bien souvent ce genre de défis. Ils sont parfois les conséquences de crises psychiques et peuvent influer sur d'autres adolescents fragilisés. Une cellule psychologique doit être mise en place ce matin au collège.
* Les victimes étant mineures, leurs prénoms ont été volontairement changés.
On ne voyait pas ce genre de faits divers il y a quelques années.
J'espère que la famille se retrouvera au plus vite chez vous. En France aussi il y a beaucoup de disparitions, au départ ce sont des figues mais parfois.......................
Floty- carbone 14
- Messages : 1176
Date d'inscription : 14/01/2007
Localisation : Coulonges sur l'Autize Deux-Sèvres
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